« Dans la série des Marathons de danse (entamée en 2009), Emilie Pitoiset, artiste et chorégraphe puise dans des archives d’images du XXe siècle : la danse vrille, elle déglingue les corps, dans un modus operandi absurde menant à l’épuisement. La sortie de la maladie et l’entrée en rémission, c’est comme celle de la fatigue d’une danse longue. Reste le corps ; lui ne tombe jamais, ou jamais complètement. Le corps dans son « équilibre précaire » dit son désir de vie aspirant à « trouver sa place ».
Anouk Judde Montserrat
+33 6 23 19 13 77
anouk.judde@gmail.com
Une passerelle entre l’art et la santé
© 2022 PRIX CARTA BIANCA, All Right reserved