©Courtesy de l’artiste

  • Cécile Granier de Cassagnac

Paris (France), 1979. Vit et travaille à Paris.

C’est l’indocilité de l’aquarelle qui intéresse Cécile Granier de Cassagnac : des brèches sont là pour que s’y glisse l’imprévu et la surprise, source de plaisir et de mise à distance de la peur de la mort et des fantômes (ceux de l’enfance, de la maladie et des traumatismes), infiniment intimes, qui sont comme apprivoisés. La plongée dans un état de méditation bien particulier prévaut au geste décisif sur la feuille de papier, qui va traduire une pensée, voire un inconscient et où se combinent fragilité et sécurité, un temps pour soi, loin des bruits du monde, et qui permet l’introspection.

Outre des expositions en France et à l’étranger, en particulier à la Jules Maeght Gallery à San Francisco (USA) et à Yishu 8 à Pekin (CN), Cécile Granier de Cassagnac a animé de nombreux workshops, soutenue par l’institut français d’Abou Dabi (AE). Elle enseigne l’aquarelle et le dessin à un public d’amateurs à la NABA – École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Elle est actuellement résidente à la Cité Internationale des arts de Paris, jusqu’en juin 2024.

  • LES OEUVRES DE L’ARTISTE

« CE QUE L’ON VOIT FORME DES HISTOIRES, INDIVIDUELLES ET COLLECTIVES. LA VIOLENCE EST PRÉSENTE, SUBIE, TELLE LA MALADIE, MAIS SUBLIMÉE PAR LA DOUCEUR ET LA BEAUTÉ DE LA LUMIÈRE, CELLE DU PAPIER COMBINÉE AU GESTE DE LA MAIN. » BÉNÉDICTE ALLIOT